« La jeunesse en manque d’avenir, prise au piège d’un monde où ‘information pullule, où l’on s’interconnecte sans limites, où le virtuel est plus dense que le réel, sans d’ailleurs savoir bien repérer là où commence le virtuel et où finit le réel. La jeunesse est submergée de signaux, de messages, mais le sens a déserté le signe »
« La jeune génération vit un paradoxe : plus elle s’informe, moins elle comprend ; la connaissance ne fait plus conscience, les idéaux, les idéologies s’évaporent dans le magma des relations virtuelles, des résumés wikipédia, des flashs infos, des slogans et signaux multiples. »
« Plus que jamais la parole politique, celle qui parle de la Cité et de la planète à toutes les échelles, de leurs solidarités et de leurs fragilités, est nécessaire pour donner de la lisibilité au monde et le goût de l’engagement sur un projet collectif ».
« En donnant de son temps au débat, à l’engagement politique, et aux responsabilités publiques, quelles qu’elles soient, du monde associatif aux mandats électifs, en s’investissant dans la Cité malgré les difficultés, es déceptions, les blessures, on se construit et dans cette obstination, on donne sens et direction à sa vie ».
« Plus que jamais la parole politique est nécessaire pour mettre en conscience et en mouvement ».
« L’homme n’est vraiment l’homme que s’il est relié aux autres hommes et le but de la politique doit être précisément de construire ces liens, ces interconnexions fertiles ».
« Oui je veux le dire et l’écrire à l’intention des nouvelles générations de la cité que j’aime : faites de la politique, engagez-vous dans le débat dans l’action, donnez-vous les moyens d’une intelligence et ne fuyez pas la responsabilité sociale »